Dans le sillage de

Joséphine Baker

Artiste de rue, danseuse à Broadway et aux Folies Bergères, chanteuse de jazz, actrice, sexsymbol, résistante et militante des droits civiques : Joséphine Baker était une icône. La plus Française des Américaines. La plus Américaine des Françaises. Irrévérencieuse, inspirante, sulfureuse, engagée. De celles qui traversent les générations. Et laissent des traces. Comme une fragrance envoûtante et entêtante. Comme un parfum, tantôt scandaleux, tantôt mutin.
Hypnotisant. Magnétique.

De Joséphine Baker, beaucoup gardent l’image de la danseuse sauvage, ceinture de banane autour des hanches. Ou de la résistante, agent de renseignement des services français. Mais peu connaissent l’incroyable histoire de cette Cendrillon des temps modernes. Née aux Etats-Unis en 1906, elle grandit dans la pauvreté et la misère affective. Celle qui très tôt, aime se mettre en scène et amuser la galerie deviendra pourtant, quelques années plus tard, danseuse à Broadway et plus incroyable encore : coqueluche des Folies Bergères.

Parce que

‘‘Joséphine, c’est aussi cela : une femme simple capable de tous les excès’’.

Disparue en avril 1975, Joséphine Baker a marqué les esprits par son histoire hors du commun, son talent, mais aussi sa générosité et ses combats. Le maire de Paris, le ministre de la Culture, le gendre du Général de Gaulle, mais aussi l’actrice Sophia Loren, la princesse Grace de Monaco, Valérie Giscard D’Estaing, ainsi que le Tout-Paris des années 70 étaient présents lors de son dernier voyage...